dimanche 1 novembre 2009

les ordures de l'histoire de France

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Je ne sais pas qui ou que sont les ordures, ceux qui ont écrit ou dit, ou bien le contenu ou les 2, de ce que vous pourrez lire dessous ???

Honte à eux, honnie soit leur pensée..!
Certains discours essayent de redorer les blasons des infâmes que furent Louis Alibert, Ch. Maurras & L-F. Céline, chacun d'eux fut condamné, mais la meilleure des condamnations est l'oubli.
Ressortir certains cadavres puants des placards, un mauvais goût comme un autre, l'intellectuel & l'intellectualisme ne peuvent tout se permettre.
La provocation de la mémoire est la pire, ceux qui sont morts ne peuvent se défendre.

Provoquer son contemporain est banal, provoquer l'histoire est bestial!

Sèrgi G. 1/11/09


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- L-F Céline : "Zone sud, zone peuplée de bâtards méditerranéens, de narbonoïdes dégénérés, de nervis, de félibres gâteux, parasites arabiques que la France aurait tout intérêt à passer par dessus bord; Au dessous de la Loire, rien que pourriture, fainéantise, infects métissages négrifiés."

- Théodore Botrel : "La République nous appelle, sachons vivre et mourir, un Français doit vivre pour elle, pour elle un Breton doit mourir."

- Inspecteur Général Carré : "Ce sont des Français qu'il faut pour franciser les Bretons ; ils ne se franciseront pas tous seuls. Il y a un intérêt de premier ordre à ce que les Bretons comprennent et parlent la langue nationale. Ils ne seront vraiment Français qu'à cette condition."

1793 (?) - Carrier, à propos des noyades qui auraient fait environ 4.800 victimes, prêtres réfractaires, prisonniers vendéens, opposants politiques, fédéralistes... : "Quel torrent révolutionnaire que la Loire !"

- Daladier à une personne réclamant plus de responsabilité pour la Bretagne lors d'une réunion à Callac : "Je vois citoyen. Vous voulez revenir au temps des gaulois ?"

- Jean Dutourd, de l'Académie Française : "La France est un but, les Français n'en sont que le moyen".

- Encyclopédie. Définition du patois "façon vicieuse de parler abandonnée à la populace."

- Gustave Flaubert : "Les Français sont le premier peuple de l'univers"

- Fouché, précurseur des nazis, parlant de la Bretagne : "Il ne s'agit pas de faire le triage des bons et des méchants dans ce pays maudit, il n'y a et il ne peut y avoir que des coupables."

- Gambetta au général Keratry : "Je vous conjure d'oublier que vous êtes Breton !"

- Charles de Gaulle. : "Il n'y de France que grâce à l'État. La France ne peut se maintenir que par lui".

- Charles de Gaulle : "La France est la lumière du monde"

- Général de Marboeuf, militaire spécialisé dans les noms de rue et d'établissements scolaires en Corse : " Pour parvenir à éteindre tout à fait une race aussi exécrable, le premier moyen étant de leur ôter la facilité des retraites que leur offre les maquis, nous avons pris la résolution de les faire brûler dans toute l'étendue de l'île ".

- André Malraux : " De Gaulle avait son mystère comme nous avons la Corse. Il y avait en lui un domaine dont on savait qu'on ne l'éclairerait jamais. C'est cela que j'appelle la Corse. "

- Jules Michelet. Tableau de la France. "Vous arrivez le soir dans quelque grande et triste ville, si vous voulez Toulouse. À cet accent sonore, vous vous croiriez en Italie ; pour vous détromper il suffit de regarder ces maisons de bois et de brique ; la parole brusque, l'allure hardie et vive vous rappèleront que vous êtes en France. Les gens aisés du moins sont français ; le petit peuple est tout autre chose, peut-être Espagnol ou Maure... Dans la France, la première gloire est d'être Français. Les extrémités sont opulentes, fortes, héroïques, mais souvent elles ont des intérêts différents de l'intérêt national ; elles sont moins françaises."

- De Montalevet, ministre de l'Instruction Publique de Louis-Philippe : "Il faut absolument détruire le langage breton."

- Général Nivelle (après les 1800 morts du 64ème RI au chemin des Dames) : "Ce que j'en ai consommé de Bretons !"

- Charles Pasqua : "La démocratie s'arrête là où la raison d'État commence".

- Charles Péguy : "Dieu préfère les Français"

- Jules Renard, Journal (23 février 1891) : "George Sand, la vache bretonne de la littérature"

-Francisque Sarcey, homme de bon sens, à qui "on n'en faisait pas accroire", écrivit gravement dans son journal Le Temps (1861-1942) : "Les paysans bretons sont tellement crédules qu'ils croient à une influence de la Lune sur les marées" !

- Taine à Toulouse, Carnet de voyage : "Tout est italien. Nous avons une France qui n'est pas la France. Les rues en pente escarpée, le soir à peine éclairées à la longue distance d'une lumière vacillante sont pareilles à celles de Rome et de Pérouse... Mes collègues me disent que de tout temps le Midi s'est montré moins loyal que le Nord."

- Discours de Jean-Pierre Chevènement - 19 mars 2002 à Ajaccio :
« Morceaux choisis » : "Les indépendantistes sont des révisionnistes, ils veulent réviser notre histoire commune" - "Ils veulent effacer des tableaux le général Bonaparte et sa famille comme en d'autre temps, à Moscou, on effaçait des photos le portrait de Léon Trotski".

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1 commentaire:

Anonyme a dit…

Bien le bonsoir d'une narbonoïde dégénérée! La dérision peut devenir particulièrement odieuse quant elle participe d'un maniérisme obligé, qu'il soit intellectuel, social ou politique.

C'est ce qui ressort de ces citations: du beau monde qui bêle à l'unisson les idées à la mode pour faire bien dans les salons.