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Si tu vois le bonheur dans sa course éternelle
S'enfuir et les chagrins sans cesse revenir
Tourne-toi vers la mer! La vague maternelle
Aura, pour te bercer, la voix du souvenir...
Et que tu sois ici, puissant ou misérable,
Abandonné de tous ou riche et triomphant,
Mon ami! Puisses-tu retrouver sur le sable
L 'empreinte de tes pas dans celles d'un enfant...
(Ecrit sur un rocher,
face à la mer,
par un poète sans nom)
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4 commentaires:
Bonjour, je me permets de vous envoyer ce petit message car je suis très surprise de retrouver la citation de votre page d'accueil; Je faisais la recherche afin d'en faire moi-même état dans un livre et pensais réellement de rien trouver à ce sujet. J'ai lu ces phrases un matin très tôt sur une plage espagnole. Elles avaient été écrites tout au long de la plage. C 'était en 1966.J 'ai toujours cru que c'était ma soeur qui s'était laissée aller à de la poésie car elle avait un morceau de bois flotté à la main lorsqu'elle m'a fait venir sur la plage pour me montrer cette prose...Avez-vous d'autres renseignements ? En quelle année avez-vous lu ce que vous citez ?
Merci de votre réponse ...où ? Sur votre site peut-être ? Merci.Cordialement.
jzene vois pas trop de quoi vous parlez dans votre commentaire, des citations en fronton de Macabiès, René Char.. où du texte mis en exergue par Catherine Lacroix !!!
dans l'attente de votre réponse !!!
J’ai lu cette prose sur un blockhaus à la grande motte lorsque celle ci était au tout début de sa construction et moi jeune étudiant.Cela m’a profondément marqué par la beauté ,le rythme, la vérité. J’y repense très souvent et l’a connais par cœur. Merci au poète dont le nom m’est inconnu.
« Si tu vois le bonheur dans sa course éternelle s’enfuir……..etc….
Merci à celle où celui qui pourra me donner l’auteur.
🤩
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