Lorsque revient le mois de mai, quand je vois l’aronde voler,
Ami, comment ne pas chanter la joie, le retour et l’amour
dont le feu qui nourrit mes lignes comme le chant du troubadour
meut givre et neige en fleurs inverses et couronne les plus indignes ?
Quand je vois l’aronde voler, Ami, comment ne pas chanter
la joie d’aimer et d’être aimé, le pur émoi qui tant bouleverse,
le noble désir exaucé, le secret à nul dévoilé
où l’être enfin est révélé du regard qui lui est porté ?
Ami, comment ne pas chanter la joie d’aimer et d’être aimé,
fût-elle du bonheur l’éclat exilé au lointain passé ?
La joie d’antan qui transforma et dont il reste la douleur
Me ravit de son souvenir quand je vois l’aronde voler.
.
Ami, comment ne pas chanter la joie, le retour et l’amour
dont le feu qui nourrit mes lignes comme le chant du troubadour
meut givre et neige en fleurs inverses et couronne les plus indignes ?
Quand je vois l’aronde voler, Ami, comment ne pas chanter
la joie d’aimer et d’être aimé, le pur émoi qui tant bouleverse,
le noble désir exaucé, le secret à nul dévoilé
où l’être enfin est révélé du regard qui lui est porté ?
Ami, comment ne pas chanter la joie d’aimer et d’être aimé,
fût-elle du bonheur l’éclat exilé au lointain passé ?
La joie d’antan qui transforma et dont il reste la douleur
Me ravit de son souvenir quand je vois l’aronde voler.
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